Ces pays prétend que la police a réprimé le rassemblement pacifique des manifestants, a intervenu de manière brutale et il a violé les droits de l’homme.
Selon les dispositions des traités internationaux relatifs aux droits de l'homme, y compris le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, les rassemblements pacifiques ont une série de critères qui, par exemple, ne doivent pas répandre la haine, inciter à la violence, ne doivent pas porter d'armes, ne doivent pas être contraires à l'ordre public et à la sécurité, ainsi qu'aux bonnes mœurs.
Mais d'après le site iranien Tasnim, le Secrétaire du Comité des droits de l'homme de la République islamique d'Iran, Kazem Gharibabadi a déclaré que plus de 1 200 places, voitures et motos, y compris des véhicules publics et d'urgence tels que des ambulances, ont été incendiées lors de ces derniers troubles.
Le Secrétaire du Comité iranien des droits de l'hommea posé ette question : "Comment peut-on considérer ces incidents en tant qu'un rassemblement pacifique ? "
Il a aussi souligné que plus de 40 d'agents des forces de l'ordreont été assassinés et plus de quelques milliers blesséalors qu'ils n’étaient pas autorisées à porter des armes à feu pour éviter la violence involontaire policière.
" Jusqu'à présent, plus de 80 personnes affiliées à divers groupes terroristes kurdes et plus de cinq personnes affiliées à l'Etat islamique ont été arrêtées", a-t-il ajouté.
Le Secrétaire du Comité des droits de l'homme de la République islamique d'Iran, Kazem Gharibabadi qui est à New York après que le Conseil des droits de l'Homme des Nations unies a voté jeudi l'ouverture d'une enquête internationale sur la répression en Iran, a critiqué la politisation des droits de l’homme par les pays occidentaux.