Plus de 2 000 psychologues demandent d’expulser Israël de la Commission du statut de la femme
Plus de 2 000 psychologues demandent d’expulser Israël de la Commission du statut de la femme.
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Plus de 2 000 psychologues demandent d’expulser Israël de la Commission du statut de la femme.
L’expulser Israël de la Commission du statut de la femme
L’expulser Israël de la Commission du statut de la femme- Plus de 2 000 psychologues du monde entier ont envoyé une lettre au secrétaire général des Nations Unies et au secrétaire de la Commission des droits de la femme des Nations Unies, exigeant expulser Israël de la Commission du statut de la femme.
Journée d'Al-Quds : Israël plus fragile que jamais
Plus de 2 000 psychologues et conseillers du monde entier, dans une lettre adressée à Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, et à Lagdameau, présidente de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies, ont condamné la guerre menée par Israël contre le peuple de Gaza, en particulier les femmes et les enfants, et ont exigé expulser Israël de la Commission du statut de la femme.
Dans cette lettre, des psychologues ont exprimé leur grande inquiétude face à l'indifférence des organisations internationales à l'égard de la santé mentale des femmes et des enfants de Gaza et ont jugé nécessaire d'expulser Israël de la Commission de la condition de la femme.
Declaration de plus de 2 000 psychologues demandant d’expulser Israël de la Commission du statut de la femme
Aujourd'hui, la question importante pour les psychologues du monde entier est de savoir si la Commission des Nations Unies sur la condition de la femme ne s'adresse qu'à quelques pays. Vous n'avez pas votre place dans cette organisation ? Les membres de la Commission des femmes ont-ils déjà pensé à la santé mentale des femmes et des enfants qui commencent leur journée avec le bruit des bombes, des tirs et des balles ?
Comment se fait-il que ce régime, avec toutes ces horribles violations, soit toujours membre de cette commission et parle des droits des femmes et des enfants avec ses mains tachées du sang de milliers de femmes et d'enfants innocents ?
Comment se fait-il que ce régime revendique les droits des femmes, alors qu'environ 70 % des personnes tuées dans la guerre à Gaza sont des femmes et des enfants sans défense ! Les yeux et les oreilles des Nations Unies, qui sont une organisation internationale, sont-ils fermés à ces crimes ?
Ces crimes ne révèlent-ils pas le comportement d'Israël en dehors des cadres humains, la fausseté des rêves européens et américains concernant le nouvel ordre mondial et leurs idéaux ?
Les objectifs de développement durable et les efforts des fonds affiliés à l’ONU ne sont-ils rien d’autre que d’essayer de gérer les pays faibles pour les rendre encore plus faibles ?
En mettant en garde contre l'état de santé mentale des femmes et des enfants à Gaza, nous, psychologues, vous avons mis en garde contre la crédibilité des Nations Unies et le risque d'inacceptabilité mondiale de cette organisation, exigeons de toute urgence et avec force expulser Israël de la Commission du statut de la femme dans les plus brefs délais.
Il est également indiqué dans le communiqué que la Journée internationale de la femme aura lieu cette année dans une situation où, à cause de la guerre israélienne, 200 personnes par jour, 8 personnes par heure; et toutes les 8 minutes, une personne est tuée à Gaza. A cela s'ajoutent 31 000 victimes, 72 000 blessés et des centaines de milliers de déplacés et de sans-abri.
La part des femmes dans ce massacre de 6 mois est de plus de 9 000 personnes, 58 femmes par jour et 2 femmes sont tuées chaque heure à Gaza. La moitié des blessés et déplacés sont des femmes.
L’expulser Israël de la Commission du statut de la femme : le rôle de la Commission
La Commission des Nations Unies sur la condition de la femme est l'une des institutions modernes censées prendre des mesures contre le meurtre systématique de femmes innocentes et sans défense à Gaza.
Cette commission est une institution affiliée au Conseil économique et social des Nations Unies, créée en 1946 dans le but d'assurer l'égalité des sexes et de contribuer à la promotion de la femme.
Chaque année, la Commission de la condition de la femme organise une réunion de 10 jours au siège des Nations Unies à New York pour examiner les progrès réalisés en matière d'égalité des sexes, identifier les défis et définir des normes mondiales.
Même si cette institution, la Commission, n'a pas de rôle décisionnel avec garantie exécutive, elle doit être considérée comme la plus haute autorité de contrôle dans le domaine de la femme aux Nations Unies.
La commission est composée de représentants de 45 pays du monde sélectionnés sur la base d'une répartition géographique équitable : 13 membres d'Afrique, 11 membres d'Asie ; 9 membres d'Amérique latine et des Caraïbes ; 8 membres d'Europe occidentale et 4 membres d'Europe de l'Est.
L’amère ironie est qu’Israël, avec le record du meurtre de 9 000 femmes palestiniennes, est désormais membre de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies !
Sans aucun doute, la moindre et la meilleure protection du statut des femmes serait d’expulser Israël de la Commission du statut de la femme, car il massacre chaque jour 58 femmes palestiniennes sans défense de la manière la plus odieuse et la plus cruelle possible.
Le devoir moral et juridique de cette commission est de veiller à la sécurité et à la dignité des femmes en tant que « Terre Mère ».
Un régime qui a tué 9 000 femmes et blessé au moins 30 000 autres femmes au cours des 6 derniers mois et qui a rendu des centaines de femmes déprimées et anxieuses à cause de la perte de leurs enfants et de leurs proches, ne mérite sans doute pas de faire partie d'une commission dont le devoir est de protéger la condition de la femme.
Il s’agit d’une épreuve difficile pour cette instance internationale qui doit prouver à quel point elle est sincère et sérieuse dans l’exercice de son devoir sacré de protéger les femmes, ces mères de la terre.