Nombre d’observateurs politiques et économiques italiens, à Milan et à Rome, ne cachent plus leur inquiétude depuis que le Qatar a balayé d’un revers de la main les accusations de Bruxelles portant sur des allégations de corruption au Parlement européen (le scandale dit du «Qatargate») et la décision qui s’en est suivie de suspendre l’accès des autorités qataries au siège de cette institution.
25-12-2022, 16:40