Le tribunal d’Angers a relaxé lundi 2 mai un vétérinaire qui avait prescrit des médicaments ayant permis à un de ses amis, atteint de la maladie de Charcot, de se donner la mort. Son avocat a évoqué « l’état de nécessité », pour éviter à son ami « de subir des souffrances d’une intensité particulièrement cruelle ». Le parquet va faire appel.
6-05-2022, 17:29