À qui profitent les mensonges sur le changement climatique ?

Les mensonges sur le changement climatique sont utilisés par l’élite riche qui voyage en jet privé et limite l’utilisation des combustibles fossiles des gens ordinaires.

Mensonges sur le changement climatique et l’hypocrisie des politiciens occidentaux

 Les politiciens occidentaux ont fait face à de nombreuses critiques pour leurs mensonges sur le changement climatique et leur double standard à cet égard.

Alors qu’ils prêchent à la plupart des pays africains et asiatiques, notamment au sous-continent indien, la nécessité de limiter l’utilisation des combustibles fossiles pour protéger l’environnement, eux-mêmes ne respectent pas ces lois.

 Ce double standard a suscité déception et doutes parmi les observateurs qui remettent en question la sincérité de l’Occident dans la lutte contre le changement climatique.

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De telles contradictions ont non seulement miné la crédibilité de l’Occident, mais ont également entravé les efforts mondiaux visant à parvenir à un avenir durable et juste pour tous.

 D'un côté, l'élite mondiale, qui cherche à faire avancer l'agenda mondialiste des « Objectifs de développement durable » (document 2030), a incroyablement mis la vie et les moyens de subsistance des gens ordinaires sous forte pression sous prétexte de changement climatique et de protection de l'environnement.

Notamment en ordonnant l'abattage de dizaines de milliers de vaches en Irlande ou en imposant une taxe sur l'estomac et les intestins du bétail en Nouvelle-Zélande.

L'élite mondiale entend pousser la culture alimentaire des gens vers la consommation d'insectes, de viande de laboratoire et même de viande recyclée à partir de carcasses humaines.

 D'autre part, le mode de vie le plus gaspilleur et le plus luxueux est celui de l'élite tyrannique qui vit sur des îles privées, voyage avec des jets privés et, surtout, possède des entreprises et des holdings économico-commerciaux, qui sont elles-mêmes les accusatrices de première ligne de pollution de l'environnement à grande échelle.

 Il convient de noter que « BlackRock » et « Vanguard », deux superholdings économiques qui sont les plus grandes sociétés commerciales au monde ainsi que les principaux actionnaires de presque toutes les grandes entreprises et banques mondiales, ont rejoint le mouvement « le net zéro  » pour lutter contre le « réchauffement climatique » " alors qu’ils sont les principaux responsables de la situation chaotique actuelle dans le monde dont la pauvreté, l'injustice, l'exploitation des pays en développement et la pollution de l'écosystème terrestre.

 Même le fondateur de la franc-maçonnerie du « Forum économique mondial » (WEF), le théoricien de la « Grande Réinitialisation » et héraut du nouvel ordre mondial basé sur les « objectifs de développement durable » Klaus Schwab affirme qu'en raison du « changement climatique » et la nécessité de fermer la majorité de l’agriculture, de l’élevage mondial, les peuples du monde devraient se tourner vers la consommation d’insectes plutôt que de viande.

Les comportement hypocrite de la ministre espagnole de l'Ecologie lors du Sommet européen sur le changement climatique

Teresa Ribera, la ministre espagnole de l'Ecologie, a été sévèrement critiquée par le public pour son comportement hypocrite lors du Sommet européen sur le changement climatique en Espagne.

Après avoir voyagé en jet privé et utilisé sa limousine d'apparat, elle avait fait quelques dizaines de mètres à vélo avant le sommet sur le climat, juste pour le spectacle !

En fait, son action a été considérée comme une tentative de tromper le public et de présenter une fausse image d’engagement en faveur de la durabilité environnementale.

 De plus, il est bien noter que la ministre était escortée par deux véhicules blindés alors qu'elle circulait à vélo.

 Un groupe actif dans le domaine des transports propres a écrit à ce sujet que les personnes voyageant en avion privé créent 10 à 20 fois plus de pollution carbonée que les passagers des compagnies aériennes commerciales.

Les mensonges sur le changement climatique

Depuis au moins les années 1970, les Nations Unies et leurs organisations affiliées ont averti que dans les « dix années » à venir, « l'humanité disparaîtra de la surface de la terre » en raison d'une « chaleur sans précédent » ou " bientôt l'Europe se transformera en régions tropicales et de toute l'Asie, il ne restera plus que le désert ".

 Mais, en juillet 2019, une équipe de scientifiques finlandais a publié un rapport selon lequel « il n'y a aucune preuve que les activités humaines ont contribué au réchauffement climatique au cours du siècle dernier ».

Ces chercheurs ont découvert que la contribution humaine à l’augmentation de 0,1 degré Celsius de la température mondiale au cours du siècle dernier n’est que de 0,01 degré Celsius.

En septembre 2019, 500 climatologues ont écrit aux Nations Unies qu'« il n'y a pas d'urgence climatique et que les politiques climatiques doivent être conçues pour bénéficier à la vie des gens».

 En août 2022, une déclaration intitulée « Déclaration mondiale sur le climat » a été publiée par 1 200 scientifiques, qui affirmaient : « Il n’y a pas d’urgence climatique mondiale ».

 En septembre dernier, le rapport d'une étude internationale a été publié, selon lequel il n'y avait aucune preuve de « changements significatifs » dans les indicateurs climatiques à l'avenir.

 Ce ne sont que quelques exemples du « récit » induit  par l’élite mondiale sur « l’urgence climatique » et le « changement climatique extrême », qui remet en question la validité de leurs déclarations.