Tout est défini dans une charte du "volontariat olympique et paralympique", sous l'œil de la vigie sociale, l'ex-numéro un de la CGT Bernard Thibault, qui siège au conseil d'administration du Comité d'organisation. La Cour des comptes a récemment relevé, dans un rapport consacré aux JO en janvier, que cette charte "reste un cadre juridique fragile" et recommandait d'être "particulièrement vigilant sur l'application de ses dispositions et, en particulier, sur les principes d'éligibilité, les catégories de missions et le respect des principes d'exclusion de certaines d'entre elles".



Pour Deborah David, avocate en droit du travail, interrogée par l'AFP, cette charte offre "un mode d'emploi" et "permet de servir de référence", ne voyant la perspective de "contentieux" que dans des "situations très marginales".