Les résultats d’une enquête indiquent la colère du peuple saoudien en raison des mauvaises conditions économiques

Les résultats d’un sondage international indiquent la colère croissante de l’opinion publique en Arabie saoudite en raison de sa mauvaise situation économique à la suite de l’échec catastrophique de la vision 2030 présentée par Mohammad ben Salman, Arabie saoudite.
Une enquête du Center for political Studies au Proche-Orient de Washington montre que la moitié du peuple saoudien est pessimiste au sujet de la "situation économique saoudienne" et que 22 pour cent sont pessimistes au sujet de l’économie saoudienne.

Les observateurs estiment que les fausses décisions économiques de Muhammad ben Salman et la faiblesse de la planification économique causeront la fragilité économique et réduiront les investissements en Arabie saoudite.

Les observateurs soulignent que ben Salman prend des décisions arbitraires et imprévues pour résoudre les problèmes internes de l’Arabie saoudite qui nuisent à l’économie du pays, en plus de ne pas accorder d’attention au gagne-pain de sa population.

Par exemple, il n’y a pas de statistiques ou de rapports économiques expliquant aux Saoudiens où se dirige leur pays. Les Canadiens ne voient que des reports et des menaces de la part du prince héritier de ce pays, mais ils savent très bien ce qui va se passer. Ça arrive en 2020. Pas fait, ça ne sera pas réalisé en 2025 et aussi en 2030.

Malgré l’énorme richesse nationale de l’Arabie saoudite et les nombreux discours sur l’investissement dans le pays, l’Arabie saoudite a subi un taux de chômage de 12 % pendant sept années consécutives, tandis que les statistiques informelles de chômage s’élevaient à 20 % dans ce rapport sur le pays.

Le mécontentement du public à l’égard de la moitié de la population saoudienne est dû à l’inflation dans le secteur alimentaire et à la forte dépendance du pays aux revenus pétroliers.

Cela en dépit du fait que la Direction générale de la statistique de l’Arabie saoudite a récemment annoncé que l’indice des prix à la consommation dans ce pays a augmenté de 2,7 pour cent en Juillet par rapport à la même période l’année dernière.
L’indice d’inflation de l’Arabie saoudite a atteint un sommet de 13 mois en juillet dernier sous l’influence de la hausse des prix des aliments et des boissons et des coûts de transport, qui sont des facteurs clés de l’inflation dans le pays.

En raison du manque de ressources en eau pour l’agriculture, l’Arabie saoudite importe la plupart de ses aliments de pays étrangers. Le taux d’inflation dans le secteur alimentaire reste élevé, peut-être en partie à cause de la quarantaine et de la volonté des gens de stocker ces articles à grande échelle, et on s’attend à ce que le taux d’inflation augmente parce que la facture d’augmentation de la TVA est appliquée. Restez au niveau actuel.

En juillet 2020, l’Arabie saoudite a haussé le taux de TVA à 15 % à la suite d’une chute des prix mondiaux du pétrole et d’une baisse de la demande de pétrole et des recettes publiques, et le déficit budgétaire du gouvernement saoudien a augmenté ces derniers mois.
L’Arabie saoudite est également confrontée à un déficit budgétaire pour la septième année consécutive, et les experts pensent que Mohammed ben Salman utilisera ses réserves pour compenser ce déficit.

L’inflation mondiale en Arabie saoudite devrait augmenter malgré une hausse spectaculaire des prix du pétrole, selon Bloomberg News.
Bloomberg a souligné que l’Arabie saoudite, le plus grand exportateur de pétrole au monde, n’est pas à l’abri de la récente hausse des prix mondiaux et des taux d’inflation, même si les prix du pétrole brut continuent d’augmenter.

En juillet 2020, l’Arabie saoudite a haussé le taux de TVA à 15 % à la suite d’une chute des prix mondiaux du pétrole et d’une baisse de la demande de pétrole et des recettes publiques, et le déficit budgétaire du gouvernement saoudien a augmenté ces derniers mois.
L’Arabie saoudite est également confrontée à un déficit budgétaire pour la septième année consécutive, et les experts pensent que Mohammed ben Salman utilisera ses réserves pour compenser ce déficit.

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Bloomberg a souligné que l’Arabie saoudite, le plus grand exportateur de pétrole au monde, n’est pas à l’abri de la récente hausse des prix mondiaux et des taux d’inflation, même si les prix du pétrole brut continuent d’augmenter.