Ce rassemblement intervient après la mort d'un agent poignardé par un individu fiché par les services anti-terroristes qui avait été pris en charge le jour même par les urgences psychiatriques.
"C'est évidemment une colère du monde policier par rapport aux autorités, par rapport aux moyens dont nous avons besoin. C'est un moment, d'abord, de recueillement pour Thomas, mais après, c'est évidemment le monde policier qui veut se faire entendre de l'autorité gouvernementale", souligne Eddy Quaino, du syndicat de police CGSP.
"Il n'y a plus de respect de la part de la population. Chaque fois que nous intervenons, nous avons des problèmes, on subit des violences, on nous empêche de faire notre métier et là ce n'est plus acceptable", ajoute un policier.
Les policiers belges réclament l'application de la tolérance zéro pour les violences visant les forces de l'ordre et disent regretter le trop grand nombre de classements sans suite par la justice.
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