Normalisation des relations : les homosexuels israéliens responsables de la transmission de la variole du singe aux Émirats
L’épidémie de virus variole du singe " n’est pas normale ", selon l’OMS alors que d'abord Israël et après les Émirats arabes unis, qui ont normalisé leurs relations, signalent les premiers cas au Moyen-Orient.
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Les homosexuels et la variole du singe
Depuis début mai, les autorités sanitaires de 19 pays ont découvert environ 237 cas suspects et confirmés de variole du singe, selon Reuters.
La majorité de ces infections ont été découvertes en Europe et les responsables du monde entier surveillent davantage de cas car, pour la première fois, la maladie rare semble se propager parmi les personnes qui ne se sont pas rendues en Afrique, où la variole du singe est endémique.
Les autorités britanniques ont déclaré qu'"une proportion notable" des cas en Grande-Bretagne et en Europe concernaient de jeunes hommes sans antécédents de voyage en Afrique et qui sont homosexuels, bisexuels ou ont des relations sexuelles avec des hommes.
Les autorités portugaises et espagnoles ont également déclaré que leurs cas concernaient des hommes qui avaient principalement des rapports sexuels avec des hommes et dont les infections avaient été détectées lorsqu’ils avaient demandé de l’aide pour des blessures dans des cliniques de santé sexuelle.
La maladie est plus susceptible d’infecter les hommes gais et bisexuels que quiconque.
Un haut conseiller de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré lundi que la principale théorie est que la variole du singe s’est probablement propagée après une activité sexuelle lors de deux raves récentes en Europe.
Dans une interview avec l’Associated Press, le Dr David Heymann, qui dirigeait auparavant le service des urgences de l’OMS, a déclaré : " Nous savons que la variole du singe peut se propager lorsqu’il y a un contact étroit avec les lésions d’une personne infectée, et il semble que le contact sexuel ait maintenant amplifié cette transmission."
La variole du singe provoque généralement de la fièvre, des frissons, des éruptions cutanées et des lésions sur le visage ou les organes génitaux. Il peut se propager par contact étroit avec une personne infectée ou ses vêtements ou ses draps
Tel-Aviv, le paradis pour gays
Tel-Aviv est la ville la plus gay du Proche-Orient. Les autorités israéliennes elles-mêmes vantent ce paradis pour gays, déclaré selon Gay Cities, " ville la plus gay friendly du monde en 2011".
En janvier 2012, le maire Ron Huldai déclarait à l'Associated Press : "Nous essayons de créer un modèle d'ouverture, de pluralisme et de tolérance."
Il y a 20 ans que les gays israéliens avec des dirigeants et des responsables de l'Etat hébreu se rendent chaque année aux rues de la capitale pour participer à la gay pride qui ouvre le mois LGBT en Israël.
En vue d'un grand nombre des homosexuels qui vivent en Israël, la transmission de la variole du singe y est beaucoup. Et les premiers cas de la variole du singe au Moyen-Orient ont été signalé en Israël.
Le tourisme sexuel israélien à Dubaï
Les Émirats sont le deuxième pays du Moyen-Orient à annoncer un cas de variole du singe, après Israël samedi.
Il est difficile de croire les témoignages des touristes israéliens de retour des Émirats arabes unis, dans lesquels ils décrivent Dubaï comme le Las Vegas du Moyen-Orient, et ce spécifiquement en référence à la prépondérance de la prostitution et du commerce du sexe, particulièrement choquants dans un pays arabo-musulman.
Selon un résident israélien à Dubaï, le nombre croissant de ses compatriotes israéliens visitant les Émirats arabes unis en général, et Dubaï en particulier, leur a fait penser qu’ils sont chez eux et peuvent faire ce qu’ils veulent.
Il est devenu clair que tout touriste israélien à Dubaï peut se rendre dans une chambre d’hôtel pour assister à une fête, payer 1 000 dollars et se plonger dans la luxure. Tout cela se passe ouvertement, et les autorités émiraties ferment les yeux sur les touristes qui passent une semaine à Dubaï à des fins sexuelles.
Les données disponibles auprès des touristes israéliens revenant des Émirats arabes unis indiquent qu’ils sont facturés entre 1800 et 2000 dirhams (550 à 600 dollars). Ils ont découvert un nouveau « marché de la viande » et opèrent sans encombre dans les Emirats, comme s’ils erraient à Bucarest, Bourgas ou Bangkok.
Il est difficile de croire que Dubaï abrite les pires excès de l’industrie du sexe, mais c’est vrai. Les Israéliens vont à Dubaï comme ils iraient à Bucarest ou en Thaïlande ; mais à Dubaï, le prix est beaucoup plus élevé, et les prostituées se trouvent partout. Selon un échantillon aléatoire de touristes sexuels israéliens, Dubaï est désormais une destination de choix pour eux ; la ville numéro un pour le sexe ; et il leur est plus facile de se rendre à Dubaï qu’en Roumanie, bien que cela coûte plus cher.
Ce qui se passe à Dubaï est une extension de l’industrie du sexe israélienne, avec des applications de prostitution faisant la promotion des femmes opérant à Dubaï. Dubaï est devenue la ville-péché du Golfe et l’une des principales capitales du tourisme sexuel au monde. Le fruit de la normalisation est que les Israéliens sont désormais fortement impliqués dans toute cette affaire honteuse.
Selon le site Al Sarira, les observateurs indiquent que les interactions touristiques entre les Émirats arabes unis et Israël pourraient faire les nouveaux cas de la variole du singe au Moyen-Orient.
Ils affirment même que Tel-Aviv tente de faire les tendances LGBT dans la société émiratie.
Émirats arabes unis et Israël ont convenu d’établir des relations diplomatiques, culturelles et commerciales complètes après la signature d’accords controversés le 15 septembre à la Maison Blanche.