Tout ce que vous devez savoir sur "la Nakbat"
La "Nakbat", la catastrophe en arabe, est un terme désignant l'anniversaire de la déportation de plus de 750 000 Palestiniens de leurs maisons et de leurs terres en Palestine le 14 mai 1948.
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La Nakbat est le jour où le mouvement sioniste, avec le soutien des Britanniques, a dominé une grande partie de la Palestine et a déclaré sa souveraineté dans cette région.
Ce jour-là, les Palestiniens ont été expulsés de 20 villes et d'environ 400 villages. Cette journée est également une commémoration pour la mort d'au moins 10 000 Palestiniens.
La Nakbat et la France
Dans le jour Nakbat, les sionistes ont annoncé l'établissement d'Israël en Palestine le 14 mai 1948, avec le soutien de l'Angleterre et le feu vert des États-Unis, après avoir déplacé des centaines de milliers de Palestiniens et occupé leurs territoires.
Mais la vérité est que la Nakbat a commencé bien avant 1948 ; lorsque lors de l'attaque de la France contre le monde arabe en 1799, "Napoléon Bonaparte", le premier empereur français, a exigé l'établissement d'un État juif sous le soutien français en Palestine.
A cette époque, le plan de Napoléon n'a pas été mis en œuvre; mais ensuite, les Britanniques ont relancé cette conception à la fin du 19e siècle.
La Nekbat et la Grande-Bretagne
En 1917, la Grande-Bretagne a annoncé son soutien à l'établissement d'Israël en Palestine. Après cela, une délégation du mouvement sioniste est entrée en Palestine avec le soutien des Britanniques et a commencé à acheter les terres palestiniennes par la ruse, les menaces et la force.
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De cette façon, des dizaines de milliers de Palestiniens ont été expulsés de leurs maisons et tout Palestinien qui s'opposait à la vente de sa maison et de sa terre était tué.
Cependant, les Palestiniens n'ont pas renoncé à ces actions et ont défendu leur terre et leurs maisons. Cette résistance se poursuivit jusqu'en 1947, jusqu'à ce que le 29 novembre 1947, les Nations Unies approuvent le plan de division de la Palestine en deux parties juive et arabe.
À cette époque, les Juifs représentaient un tiers de la population de la Palestine, et la plupart d'entre eux étaient des immigrants qui avaient émigré vers Palestine depuis l'Europe au cours des dernières années, et ils ne contrôlaient que 6 % de la terre palestinienne, mais ce plan de partition de l’ONU leur ont donné 55% de la superficie de la Palestine.
Les Palestiniens, qui voyaient qu'ils perdaient leur pays après leur maison et leur terre, se sont opposés au plan de l’ONU.
D'autre part, les sionistes n'était pas satisfait de la part donnée par les Nations Unies, ils ont donc commencé à lancer des opérations militaires contre les Palestiniens pour occuper leurs territoires.
Au début de 1948, des dizaines de villes et de villages palestiniens ont été occupés par des menaces des sionistes et leurs habitants ont été chassés de leurs maisons. Ces événements se sont déroulés devant les yeux des Nations Unies et de la communauté internationale, qui prenaient tout le temps le silence.
Le 14 mai 1948, avec le retrait des Britanniques de Palestine, Ben Gourion, le chef de l’Agence juive pour la Palestine pour être l’exécutif de l'Organisation sioniste mondiale en Palestine mandataire britannique, annonça officiellement l'établissement d'Israël en Palestine.
En quelques minutes, les deux grandes puissances du monde, les États-Unis et l'Union soviétique, ont reconnu Israël, et ainsi les Palestiniens se sont retrouvés sans État.
Après cela, les projets d'Israël ont continué à expulser complètement les Palestiniens de leurs maisons et de leurs terres.
Jusqu'à aujourd'hui, Israël a mis tous ses efforts pour détruire tous les symboles et l'héritage de la Palestine, ce qui a conduit à l'aggravation des conditions de millions de réfugiés palestiniens.