Le corps d’un homme de 56 ans, employé au service informatique du groupe, a été découvert jeudi dans l’un des bâtiments du groupe audiovisuel, à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine).
Le groupe TF1 touché par un drame en ses locaux. Selon nos informations, vers huit heures du matin, ce jeudi 7 juillet, le corps d’un salarié a été retrouvé dans l’Atrium, l’un des bâtiments appartenant à l’entreprise audiovisuelle située à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Il s’agit d’un homme de 56 ans, travaillant pour le service informatique.
Une enquête, confiée par le parquet de Nanterre au commissariat de Boulogne-Billancourt, est ouverte pour « recherches des causes de la mort ».
Une cellule psychologique mise en place, les salariés du bâtiment invités à privilégier le télétravail
Le corps a été transporté à l’Institut médico-légal pour y subir une autopsie. La piste du suicide serait envisagée. « Il revient à l’enquête de police de déterminer les circonstances », fait savoir un porte-parole du groupe TF1 en confirmant « le décès d’un collaborateur survenu tôt ce matin sur le site de l’Atrium ». « Le directeur général adjoint du groupe en charge des relations humaines s’est rendu immédiatement sur place, rejoint par les secours, la police et l’inspection du travail, précise-t-on. Ce salarié travaillait à TF1 depuis de nombreuses années, il était reconnu pour son expertise, discret et apprécié des équipes. Nous présentons nos condoléances à sa famille. ».
Une cellule psychologique, disponible pour tous les employés bouleversés voire choqués par ce tragique événement, a été mise en place in situ. Ce jeudi, l’ensemble des salariés de ce grand immeuble de neuf étages a été prié de ne pas se rendre sur son lieu de travail. « Suite à un accident survenu à l’Atrium, nous vous demandons de privilégier le télétravail aujourd’hui. Si pas possible, vous ne pourrez accéder aux locaux qu’en fin de matinée », recommande dans un mail interne que nous nous sommes procuré, une des entités présente dans ce bâtiment, abritant près d’un millier de salariés.
Le Parisien